J'ai été ignoré volontairement par les médias de ma région

Pourquoi aucun média de ma région, à part le FM 93.3 (qui m'ont biché) et AM Info800 (qui m'ont fait une entrevue imprévue mercredi lors la manifestation des étudiants contre le dégel des frais de scolarité) ?

Je n'ai même pas obtenu d'entrevue de la par des radios communautaire (CKRL et CKAI) malgré l'envoi de plusieurs courriels.

En considérant, que je suis connu depuis longtemps par les journalistes. C'est de manière délibérer, qu'ils m'ont ignoré et non pas par manque de temps ou d'espace. Ils m'ont ignoré par divergence d'opinions. Je me suis présenté aux élections provinciales pour lancer un débat sur la pertinence à accorder autant d'importance la lutte anti-malbouffe dans les médias.

On m'a ignoré, malgré que plusieurs candidats, de tous les partis politiques, ont soulevé leur intérêt de bannir la malbouffe dans leur campagne (voir mes liens sur la page d'accueil). On m'a ignoré, malgré le fait que le ministre de la santé, Philippe Couillard, a décidé de politiser le sujet en s'engageant à dépenser 400 millions de dollars sur 10 avec la fondation Lucie et André Chagnon pour lutter contre la malbouffe. C'est un montant d'argent complètement démesuré et insensé. Ce sujet mérite donc d'être débattu publiquement.   

Pourquoi les journalistes n'ont-ils pas choisi d'utiliser ma candidature aux élections pour lancer ce débat ? Parce que le discours entourant le sujet de la malbouffe est dogmatique. Après les caricatures sur Mahomet, parler en faveur de la malbouffe, constitue le pire des sacrilèges. Les journalistes m'ont mis un fatoi. Quand on ne peut être pas pour ou contre un sujet, aussi banale que la nourriture, nous en présence de croyances. En principe, une croyance ne peut pas être discutée ou mise en doute. Ainsi, on ne peut en mettre en doute la croyance qui dit que la malbouffe, c'est mauvais pour la santé.

Les réactions émotives contre le slogan de ma campagne électorale « La malbouffe, c'est très bon pour la santé », sont du genre : « tu es dont bien niaiseux, voyons dont tu ne peux pas dire cela, c'est ridicule ». Cela prouve que cela confronte la croyance des gens. Car les croyances sont du domaine des émotions et non du domaine rationnel. Si le discours était plus rationnel, les gens voudraient discuter avec moi librement sans me porter de jugements moraux et sans me condamner de vouloir du mal aux gens. 

Ne pas s'être intéressé à ma candidature démontre plusieurs choses. Cela démontre que les médias se sont concertés pour adopter un seul point de vue en rapport avec avec le sujet de la malbouffe. Cela démontre qu'ils ne veulent pas que leur point de vue soit remis en question. Cela prouve, par le fait même, que j'ai raison de dire que la lutte anti-obésité/malbouffe constitue la nouvelle religion.

Pourquoi ce sujet est-il traité de manière dogmatique ? Parce que le but est d'utiliser la peur et l'intimidation pour forcer les gens à adopter certains comportements. L'approche dogmatique empêche les gens de faire un choix et de penser différemment. J'ai été ignoré, dans ce contexte, pour éviter de mettre un doute dans l'esprit des gens. Pour eux, il n'y a aucun intérêt de s'intéresser, à un représentant de Satan dans Jean Lesage, qui désire encourager les gens au péché.

Dans tout les cas, l'approche dogmatique est humainement inacceptable et surtout pour ce qui concerne les habitudes de vie des gens. C'est pourquoi, il est important de dénoncer cette situation.

En m'ignorant, les journalistes ont décidé pour les gens. Mais, c'est aux gens de juger de la justesse de mon intervention. C'est ce que j'appelle du contrôle de l'information

Le blogue du QL: L’État s’attaque à l’obésité (un problème de poids)

Dogme

“Public health” has replaced God’s will as the overriding value to be promoted.


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Payé et autorisé par M. Roy, agent officiel de José Breton  candidat indépendant aux élections provinciales 2007 dans le comté de Jean Lesage pour dénoncer la lutte à la malbouffe du parti libéral.