L'Ontario semble être un marché difficile pour les brouepubs. Depuis 1995, 19 brouepubs ont cessé leur opération pendant que seulement 6 voyaient le jour et poursuivaient leur activité. Avec deux brouepubs chacun, les villes de Toronto et d'Ottawa semblent déjà saturées et la ville d'Hamilton n'en compte aucun. Des 33 brouepubs qui se sont ouverts depuis 1986, il n'en reste que 13, dont 4 ne servent qu'une seule bière. Les habitués des brouepubs québécois auront du mal à apprécier ces bières manquant de caractère sauf peut-être pour celles du Olde Stone de Peterborough, et du Pepperwood Bistro de Burlington, que je recommande fortement.
Pour tout savoir sur le merveilleux monde du spore et sur les brasseurs qui donnent toujours leur 110%, contrairement à ceux dont le bock ne roulait pas pour eux-autres, ou à ceux qui se blessent régulièrement à l'haleine. C'est ici qu'Éponge le Magnifique lance et conte...
Vous trouverez dans mes nouvelles du spore un compte-rendu de toutes mes visites au Québec entre 2004 et 2007, tandis que vous trouverez toutes celles que j'ai fait hors Québec entre 2003 et 2006 dans les Aventures de Spongiana Jones. Pour faciliter vos recherches vous pouvez utiliser la fonction Ctrl + F de votre fureteur pour trouver le compte-rendu désiré.
Suivez les péripatéticiennes de Spongiana Jones qui tentera de déjouer les plans du diabolique Docteur Diacétyl et de son assistante, la sulfureuse Mélanoïde, qui tentent par tous les moyens de contaminer toutes les batches des brasseurs insouciants, car, comme le dit si bien Spongiana dans le «Trésor de la Bierra Maltée»: «Batches? Batches? We don't need no stinkin' batches!» Une présentation des Cinémas Gullo, dans un brouepub loin de chez vous.